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Une histoire simple et forte, qui en fait, nous renvoie à des choses intimes, des morceaux de vie. L’écriture m’a beaucoup plu car elle m’a sorti d’un univers littéraire devenu trop formaté.

Un livre magnifique, étonnant de par sa forme mais proposant aussi un contenu . L histoire est captivante et les personnages attachants . Un secret familial qui nous fait voyager dans le temps et l espace . Je recommande !

Ce roman est très intéressant par des deux entrées de lecture. Outre l’histoire de cette femme et de sa famille ordinaires, nous ramenant à notre propre vie et aux secrets enfouis de nos aînés (car il faut bien reconnaître que chaque famille a son « Oncle Paul »), je me suis surprise à imaginer quels mots, quels signes ont été les victimes de cet auteur acharné afin qu’il atteigne son objectif. Un combat verbal passionnant !

Hop! je viens de clore Mo! où se trouve également Po..sa sœur, beaucoup de o pour pour un opuscule dont la conclusion se nomme « la disparitin. ».donc n’omettez pas de découvrir cette ultime prose… 1000 signes, 100 000 en tout, bo défi, relevé avec brio et tempo ma non troppo par cet auteur prometteur qui ne demande qu’à être lu! Obligez-le et offrez vous un pur moment de plaisir!

Que d’éloges sur ce livre que je me suis empressée d’acheter et de lire. ….et quelle déception ! ….. pour moi ni odeur ni saveur ! Je reste sur ma faim et sur la fin avec un  »et alors ! » Comme si l histoire n’avait pas encore commencé.

J’ai pris beaucoup de plaisir à lire l’histoire de MO. Certes, une histoire simple, comparable à celle de beaucoup des nos semblables, du moins au début. Mais les mystères autour de l’histoire de MO sont parvenus à me donner l’envie de prolonger loin dans la nuit, la lecture, pour en connaitre le dénouement. Une belle performance compte-tenu des contraintes fixées par l’auteur. Contraintes d’ailleurs que je n’ai pas perçues, occupé à percer le secret familial.

Ce livre, je l’ai savouré lentement une à deux pages par jour… Le format s’y prête ! L’histoire est bien écrite, simple, mais prenante et mystérieuse. Un petit moment de plaisir tranquille que j’ai fait durer…

Mis a part le challenge que s’est imposé l’auteur, je ne comprends pas l’intérêt de ce livre qui aurait du rester à usage strictement familial.

C’est la première fois que je lis un ouvrage comportant cette contrainte de 1000 signes par chapitres, espaces (dont je découvre que ce mot est également féminin) comprises. Quel bel exercice de style ! Le rythme de cette charmante histoire est léger, malgré le poids du secret. Les personnages sont attachants, on aurait presque envie de les suivre un peu plus loin dans leur vie. L’histoire pourrait être la mienne, ou la votre, mais Mo, Po et leur famille ont leur spécificité : celle de ne jamais sortir du cadre oulipien que s’est imposé l’auteur. Une petite mention aussi pour « la disparitin » à la fin de l’ouvrage ! En résumé, un livre qu’on dévore rapidement une première fois, et qu’on relit lentement pour mieux savourer les finesses la deuxième fois !

Un « exercice » rare et réussi. Par Catherine pour l’eBookivore Une histoire personnelle d’abord, celle de Mo et aussi une histoire de famille qui fait voyager dans le passé et dans des pays différents, joliment racontée grâce à la contrainte que s’est imposée l’auteur : 100 chapitres de 1000 caractères chacun, ni plus, ni moins. Une belle mise en page. Une contrainte qui ordonne de trouver le mot juste à chaque phrase et un texte qui ne s’embarrasse pas de clichés et de mots inutiles… Cela donne une musique et un rythme singuliers ; avec de beaux passages. Petit bonus à la fin du livre, un texte court « à la manière de » qui fait disparaître le O.

Une histoire complexe, dite simplement. Le JE de la narratrice ajoute à cette simplicité (apparente) qui se tisse au fil des jours, et la vie va, s’accumule, se dit à moitié, entre des souvenirs d’enfance mal compris, jamais expliqués par les adultes, et les émotions qui les accompagnent et durent, durent. Jusuqu’à ce que le voile se déchire : l’histoire simple est en fait mondiale, et la géopolitique des années 70 s’invite à la table. Mo reconquerra son histoire, elle en sera grandie, et… la vie continuera. Elle s’appelle Mo, oui ou non ? (comme le tiers de morte, le quart de mémoire, et le tout d’une vie assumée dans son clair-obscur et ses mystères.

C’est comme une balade. Ca se lit cool. A la douce. En prenant son temps. Et en souriant, sans se retenir. Et surtout en oubliant l’exercice des 1000 signes, comme on oublierait les vers d’un poème. Sauf que c’est un roman et qu’on est attaché par le fil qui nous fait tourner les pages.

La contrainte que s’est imposée l’auteur en limitant le nombre de mots, donne au texte un rythme soutenu qui m’a rapidement entraînée . Une histoire courte et pourtant riche en événements qui m’a fait passer un excellent moment.

Un roman qui nous embarque tout de suite. L’histoire est construite de manière originale, avec ces chapitres courts qui poussent le lecteur à les avaler les uns après les autres. Les personnages sont intéressants, l’évolution de l’intrigue nous fait voyager jusqu’à cette Amérique du Sud que j’aime tant et dont il est relaté, sans aucune lourdeur, l’un des épisodes sombres. J’ai un peu regretté que le roman ne soit pas plus long, qu’on ne puisse pas explorer plus en profondeur la psychologie des différents personnages, qui conservent pour certains leur part de mystère, mais bien entendu c’est lié à la contrainte du nombre de caractères. Le style semble simple mais il est en réalité très travaillé, sobre, avec un ton très juste. Une lecture que je recommande à tous et pour laquelle je remercie l’auteur ! Je vais m’empresser de découvrir ses autres textes.

J’ai toujours pensé qu’un admirateur de l’Oulipo ne pouvait pas être un homme entièrement mauvais… Et avec vous, après Queneau, Pérec, Calvino et bien d’autres, il se confirme que les oulipiens sont gens de bonne, très bonne compagnie. Cependant, cher rat qui a construit lui-même le labyrinthe dont il s’est proposé de sortir (pour reprendre la définition que Marcel Bénabou et Jacques Roubaud ont donné de l’auteur oulipien), force m’est de mettre un bémol (oh, très léger le bémol) à mon enthousiasme pour votre œuvre, parce que, dans le 11ème chapitre, vous écrivez froidement « que elle » (chose étrange pour un homme aussi méticuleux), alors « qu’elle » eût été plus correct, ou à la rigueur « que, elle » – même si ça aurait mis le bousin dans vos comptes (mais je suis bien certaine que vous auriez aisément rattrapé le coup). Enfin, erreur n’est pas crime, et je vous assure de mon amicale admiration. Bien à vous. .

Un livre vraiment agréable à lire. L’idée des chapitres courts m’a séduite. On se glisse aisément au cœur de l’histoire de Mo. J’ai comparé cela un peu à une sorte de journal intime. Je ne suis vraiment pas déçue de mon achat, de plus l’écriture est fluide. Bravo à l’auteur

Beaucoup d’inspiration de la part de l’auteur pour écrire cette histoire imaginaire des secrets de famille. À lire d’un seul trait si possible, ou en deux fois, en se focalisant sur les protagonistes et leur filiation, d’Ethan à Héléna en passant par Cristobal… Un roman qui a du caractère, des chapitres courts faciles à lire.

Ce livre est épatant. Tant au niveau de l’histoire que de la façon dont il est conçu. En effet, l’auteur a écrit chaque chapitre en 1000 caractères. un caractère, c’est une lettre, ou un espace … Alors, s’il changeait ne serait-ce qu’un mot lors de sa correction, il fallait tout corriger. Un vrai tour de force réalisé là ! De surcroît, le livre est passionnant, se lit très bien, c’est un vrai roman. Avec de vraies intrigues, de vraies découvertes … Franchement, vous allez vous régaler avec ce roman, il se dévore d’une traite et vous irez de surprises en surprises.

La contrainte formelle que s’est imposée l’auteur aboutit à des chapitres très courts et très rassurants pour ceux qui n’aiment pas les chapitres interminables : on aperçoit tout le chapitre sur une seule page. Le style est travaillé à l’extrême dans le sens de la simplicité et constitue tout l’agrément de cet ouvrage, qui se lit très facilement et très rapidement. L’histoire est prenante et nous entraîne dans l’Aveyron (ce qui est déjà exotique en soi) et bien au-delà, dans les drames qui accompagnèrent au Chili le passage brutal d’Allende à Pinochet. Mis à part ce contexte historique, nous partageons la vie d’une femme et d’une mère qui connaît toutes les joies mais aussi toutes les peines (ou toutes les peines mais aussi toutes les joies) de l’amour, de la maternité et de la famille. Chaque lectrice peut d’identifier à elle, bien que le style ne favorise pas les épanchements romantiques. De la belle ouvrage vraiment (car comme « espace », ce mot peut aussi être féminin). Merci ! (Recopié à partir d’Amazon par JMB)

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